Lyrics
Ouais, ouais, c’est le son du béton,
Pour tous mes gars, dans le quartier, on se bat pour de bon.
(Couplet 1)
Ça commence à l'aube, on s’éveille dans le bloc,
Les rêves sont grands, mais la vie nous met des chocs.
Les murs parlent, racontent des histoires sans fin,
Des jeunes qui galèrent, des vies sans lendemain.
Le bitume est notre école, la rue notre salle de classe,
On apprend vite, à se battre, à se faire une place.
Les espoirs sont marqués par des graffitis,
Les rires et les pleurs se mêlent, tout est écrit.
(Refrain)
Dans la cité, on cherche l’évasion,
Entre les tours, on rêve d’horizons.
La vie est dure, mais on garde le sourire,
On se relève toujours, même si c’est pour souffrir.
(Couplet 2)
Les anciens nous disent, de ne jamais baisser les bras,
Que la lumière brille même quand il fait froid.
Les jours se ressemblent, entre deals et petits boulots,
Mais on garde la foi, on fait face aux maux.
Les regards sont durs, les cœurs endurcis,
On survit comme on peut, entre haine et ennui.
Les frères tombent, les familles pleurent en silence,
Mais l’amour du quartier nous donne de la puissance.
(Pont)
On rêve de liberté, d’un avenir meilleur,
On porte sur nos épaules tout le poids de nos erreurs.
La cité nous façonne, nous rend plus forts,
On avance ensemble, même si c’est un effort.
(Refrain)
Dans la cité, on cherche l’évasion,
Entre les tours, on rêve d’horizons.
La vie est dure, mais on garde le sourire,
On se relève toujours, même si c’est pour souffrir.
(Couplet 3)
Le soir, on traîne, on refait le monde,
On parle de justice, de nos vies qui grondent.
Les étoiles brillent, au-dessus de nos têtes,
Elles nous rappellent qu’on est bien plus que des silhouettes.
On garde l’espoir, on vise les sommets,
Même si parfois la route est semée d’embûches et de regrets.
La cité est notre mère, elle nous a vus grandir,
Elle connaît nos peines, nos rires et nos désirs.
(Refrain)
Dans la cité, on cherche l’évasion,
Entre les tours, on rêve d’horizons.
La vie est dure, mais on garde le sourire,
On se relève toujours, même si c’est pour souffrir.
(Outro)
Ouais, ouais, c’était le son du béton,
Pour tous mes gars, dans le quartier, on se bat pour de bon.
La cité nous forge, nous donne la rage,
On avance ensemble, on écrit une nouvelle page.