Lyrics
Je déambule seule, le long des rues pavées,
Ton ombre s'efface, légère comme un après-midi ensoleillé.
Parfois, ton souvenir frappe dur, comme ton poing sur ma figure,
Sur le sol, tu as fracassé mon crâne, mais c'est mon cœur qui est en panne.
Pourquoi cette rage, ce besoin de frapper ?
Tu proclamais "je t'aime", avant de me briser.
Sur ma joue, la sensation d'un sol glacé
Devant ta colère, mon amour s'est éclipsé.
Je regarde ma vie s'effilocher,
Les secondes s'allongent, deviennent des heures,
Je pense à ceux que je risque de quitter, j'ai si peur
Puis-je dire, que ton amour m'a marqué ?
On dit qu'aimer rend aveugle, mais avec cet œil au beurre noir,
Comprends que je me sens un peu lésé...
Pourquoi cette rage, ce besoin de frapper?
Tu proclamais "je t'aime", avant de me briser.
Dans ma bouche, le goût poussiéreux du pavé
Devant ta colère, mon amour s'est éclipsé.
Enfin je me relève, secouant la poussière de mes peurs,
Je deviens le marteau qui se forge un nouveau cœur,
Je m'éloigne de ton ombre, de ces jours si cruels,
Je suis celle qui survit, celle qui déploie ses ailes.
Sur le sol, tu as fracassé mon crâne, mais c'est mon cœur qui est en panne.
Pourquoi cette rage, ce besoin de frapper ?
Tu proclamais "je t'aime", avant de me briser.
Sur ma joue, la sensation d'un sol glacé
Devant ta colère, mon amour s'est éclipsé.
Je regarde ma vie s'effilocher,
Les secondes s'allongent, deviennent des heures,
Je pense à ceux que je risque de quitter, j'ai si peur
Puis-je dire, que ton amour m'a marqué ?
On dit qu'aimer rend aveugle, mais avec cet œil au beurre noir,
Comprends que je me sens un peu lésé...
Pourquoi cette rage, ce besoin de frapper?
Tu proclamais "je t'aime", avant de me briser.
Dans ma bouche, le goût poussiéreux du pavé
Devant ta colère, mon amour s'est éclipsé.
Enfin je me relève, secouant la poussière de mes peurs,
Je deviens le marteau qui se forge un nouveau cœur,
Je m'éloigne de ton ombre, de ces jours si cruels,
Je suis celle qui survit, celle qui déploie ses ailes.
j'ai si peur
Puis-je dire, que ton amour m'a marqué ?
On dit qu'aimer rend aveugle, mais avec cet œil au beurre noir,
Comprends que je me sens un peu lésé...
Pourquoi cette rage, ce besoin de frapper?
Tu proclamais "je t'aime", avant de me briser.
Dans ma bouche, le goût poussiéreux du pavé
Devant ta colère, mon amour s'est éclipsé.
Enfin je me relève, secouant la poussière de mes peurs,
Je deviens le marteau qui se forge un nouveau cœur,
Je m'éloigne de ton ombre, de ces jours si cruels,
Je suis celle qui survit, celle qui déploie ses ailes.
(de mes peurs)
Je deviens le marteau qui se forge un nouveau cœur,
Je m'éloigne de ton ombre, de ces jours si cruels,
Je suis celle qui survit, celle qui déploie ses ailes.