Lyrics
[Intro]
En outre, dans l'ombre des âmes éphémères,
Se cachent des vérités rarement solitaires.
[Verse 1]
Le temps s'écoule, inexorable, silencieux,
La vie, une mélodie, un souffle harmonieux.
Parmi les énigmes et les spectres de l'existence,
Chaque note, un écho, une fragile résonance.
[Chorus]
Entre la vie et la mort, une danse subtile,
Une symphonie d'éternité, un chant volubile.
Les jours s'envolent, tels des rêves incandescents,
Et l'âme navigue, dans un océan de vents.
[Bridge 1]
Les heures s'étirent, en outre, comme des spectres du passé,
L'éternité s'efface, dans des souvenirs dispersés.
[Verse 2]
Les espoirs se dessinent, en filigrane délicat,
Sur la toile du destin, en nuances délicates.
Les passions s'enflamment, des éclats fugaces,
Des éclairs de lumière, dans un monde tenace.
[Chorus]
Entre la vie et la mort, une danse subtile,
Une symphonie d'éternité, un chant volubile.
Les jours s'envolent, tels des rêves incandescents,
Et l'âme navigue, dans un océan de vents.
[Interlude]
Le koto résonne, un murmure des temps anciens,
La harpe chante, un songe d'ébène et de chagrin.
[Verse 3]
Les cieux s'obscurcissent, en outre, sous des voiles de brume,
La vie se dissipe, comme un parfum de prunes.
Chaque instant précieux, un bijou dans l'obscurité,
Chaque souffle un trésor, une fugace clarté.
[Bridge 2]
Les âmes errantes, en outre, se fondent dans l'éther,
Cherchant la quiétude, loin de toute chimère.
[Big Finish]
En outre, la fin n'est qu'un nouveau commencement,
Un cycle perpétuel, une éternelle ascension.
La vie et la mort, entrelacées dans leur danse,
Un ballet infini, une ultime renaissance.
[Verse 4]
Les rêves s'estompent, en outre, dans l'abysse du temps,
Les souvenirs se mêlent, en un murmure constant.
Chaque instant, une perle, dans le collier de la vie,
Chaque aurore, un tableau, en nuances infinies.
[Chorus]
Entre la vie et la mort, une danse subtile,
Une symphonie d'éternité, un chant volubile.
Les jours s'envolent, tels des rêves incandescents,
Et l'âme navigue, dans un océan de vents.
[Bridge 3]
Les ombres se dispersent, en outre, dans l'obscurité,
L'aube se lève, dévoilant des vérités.
[Verse 5]
Les larmes s'évaporent, en outre, comme la rosée du matin,
La douleur s'estompe, laissant place à des lendemains.
Les esprits s'élèvent, vers des cieux incertains,
Cherchant la paix, au-delà des chemins.
[Chorus]
Entre la vie et la mort, une danse subtile,
Une symphonie d'éternité, un chant volubile.
Les jours s'envolent, tels des rêves incandescents,
Et l'âme navigue, dans un océan de vents.
[Outro]
En outre, le cycle continue sans fin,
Un voyage éternel, un mystérieux chemin.
La mélodie s'achève, mais l'écho persiste,
Dans le cœur des vivants, où l'âme existe.