La beauté et la Gouve

Couplet 1 : Il est écrit quelque part, dans un livre oublié, Que les roses trop belles ont des secrets à cacher. Elles vivent dans la peur, leur beauté éphémère, Redoutant le moment où elles devront se taire. Refrain : Oh, écoute les moineaux chanter dans le ciel, Chaque note résonne, une âme en voyage. Les roses fanent mais les chants sont éternels, Quand un bébé naît, c’est un nouveau passage. Couplet 2 : La Gouve murmure au vent des vérités anciennes, Les âmes descendent du ciel, invisibles et sereines. Les moineaux les voient, gardiens de la naissance, Et leur chant annonce une nouvelle existence. Refrain : Oh, écoute les moineaux chanter dans le ciel, Chaque note résonne, une âme en voyage. Les roses fanent mais les chants sont éternels, Quand un bébé naît, c’est un nouveau passage. Pont : Les roses trop belles, hantées par leur destin, Commettent parfois des actes sans lendemain. Mais les moineaux chantent, et le cycle reprend, Une âme s'éveille, un enfant souriant. Refrain : Oh, écoute les moineaux chanter dans le ciel, Chaque note résonne, une âme en voyage. Les roses fanent mais les chants sont éternels, Quand un bébé naît, c’est un nouveau passage. Ainsi tourne la roue, entre peur et espoir, Les roses se fanent mais les Les roses fanent mais les chants sont éternels, Quand un bébé naît, c’est un nouveau passage. Outro : Ainsi tourne la roue, entre peur et espoir, Les roses se fanent mais les âmes ne meurent pas. Les moineaux veillent, chantant chaque départ, Et chaque nouvelle vie, un conte de joie.