Lyrics
(Refrain)
Non mais c'est mort,
Je veux pas avoir les restes et la détresse qui en sort,
Les conséquences de merde que vous avez laissé pour nos gosses,
Les causes viennent de vos mains et les solutions de nos poches, c'est moche.
c'est moche, c'est moche
Non mais c'est mort,
L'amour à été vendu à petit prix dans les écoles,
On ne sent plus la sève on renifle plus que mon écorce.
J'ai l'impression de voir le vrai mais on me dit que j'ai tort et que je dors
je dors ,je dors
(Couplet 1)
Dans les champs de coton, sous un soleil de plomb,
Les dos courbés, pour les profits, sans un frisson.
L'histoire grave ces cicatrices sur la peau,
Un passé de chaînes, que le vent n'efface pas en écho.
Dans un monde idéal, la terre nourrirait tous ses fils,
Sans qu'on exploite l'autre, sans que l'argent dirige nos vies.
Mais la cupidité a laissé notre bleu planète en larmes,
Tandis qu'on coupe et brûle, ignorant l'alarme.
Les rivières pleurent du plastique, le ciel s'obscurcit,
Les arbres tombent au combat, et nos coeurs s'endurcissent.
Combien de temps avant que la conscience émerge ?
Que les hommes comprennent que c'est leur propre piège ?
L'air est épais, pollué par des désirs immédiats,
Laissant à nos enfants qu'un avenir de combats.
"combien de temps avant que... sonne l'alarme!"
(bridge)
La solutions dans nos poches,
c'est moche, c'est moche
Non mais c'est mort,
L'amour à été vendu à petit prix dans les écoles,
On ne sent plus la sève on renifle plus que mon écorce.
J'ai l'impression de voir le vrai mais on me dit que j'ai tort et que je dors
je dors ,je dors
(Couplet 2)
Regardez les océans, nos mers autrefois vivantes,
Des souvenirs délavés par des vagues absorbantes.
Là où naguère nageaient les baleines, règne le silence,
Les coraux blanchissent, victimes de notre négligence.
Le ciel autrefois clair, maintenant voilé par le gris,
Le cri du monde étouffé par le bruit de l'industrie.
Les arbres, nos anciens, tombés pour le papier,
L'esclavage moderne caché dans chaque objet acheté.
Nous marchons sur des sols infertiles, érodés par l'avidité,
Où la terre saigne et pleure, privée de sa liberté.
Et dans ce grand marché, où tout se vend, tout s'achète,
L'homme oublie que la nature n'est pas une simple recette.
C'est un cycle, un don précieux, pas juste une ressource,
Mais tant qu'on ne change pas, le monde suit sa course.