Lyrics
Quatre fiertés sous la lune, ah
Soleil rouge, et les mystères dorés, ah
Se mêlent aux chants des triangles sacrés, ah
Les races crient le nom des héros élevés, ah
La force brute du sanglier, le loup s'élance, ah
Scandale sombre, vie qui danse, son silence, ah
Quatre races nous adoreront.
Soleil, feux et témoignages des trois triangles d'or.
Héros à l'allure courageuse du loup, monstrueuse bête à la force du sanglier,
ce n'est plus un scandale impérieux que de s'éteindre dans un noir stage et séjour.
De ne plus se sentir vivant qu'à moitié dans toutes les affections du jour.
Une petite musique progresse auprès des enfants sans âge.
Si elle n'est qu'une caresse, son auteur est vorace.
Les guêpes digèrent leurs sorties.
La plupart des entomologistes ne lisent pas assez Victorien.
Des histoires de mutuelle incrimination.
Les filles grandissent fort de se toucher.
Détester celui qui pourrait offrir un brillant univers.
Si seulement, nos désirs demandaient ce soin.
La forêt a toujours le souhait qu'on l'invoque.
Si de loin elle émet une cri, faiblement, partout nous l'entendons.
Si Darunia est une danse baroque, misons sur les tambours.
Fantaisie qui, un jour, toucha un cœur de roc, régal des balourds.
Ondulante herbe à l'allure de faucon compose un ravissant son
qui n'aura de cesse de nous éblouir de son élégante gestuelle.
Miracle est ce langage, digne chant de farore.
Une chanson, permettant toujours de passer des obstacles contristant,
résonne d'avantage que tous les chants d'alors.
La journée complète la veille des chambres, des cadavres anonymes, sans signature
Une indigène se dressant dans le vide
Son caveau perdurera dans le silence somnolent, sous les pleurs des environs
Elle en a vu ... Elle en a vu ... Elle renaîtra
Salam à vous assassins
L'ovale de son visage était un miroir enténébré
Elle avait, précédemment, contemplé la région se lamenter, sa mère l'étouffer dans ses langes
Son flanc se situait près des ruelles délabrées
Certaines remarquaient la grande cicatrice de ses points de suture sur son ample bassin
D'autres, son regard enduit de khôl, visage défiguré, le rictus engourdi,
une paire de sein manquante
Le ciel ... elle l'avait avalé : moelleux dans ses paumes
Le soleil : également, qu'elle portait à son poignet comme une petite colline
Ses sens comme du 40% bu sont vidés d'opiacé invisible
Ce n'est pas par envie du sort heureux,
dans les ailes claires des arbres, qu'on songera à elle, en sorcière de pierre
Une minute de plus et son socle s'écroule dans les égouts, cette fois-ci
Sa révélation lugubre nous apprend à sentir le magma d'obscurité,
à nous enfouir dans la tiédeur de l'horizon, à chanter l'hiver à pleine gorge rythmé de darbouka