Lyrics
Couplet 1 :
Dans un éclat de larmes écarlates, fendues par la lueur d'une l'une morose,
Il marchait seul, son cœur en miettes, laissé en éclats sur un sol gelé.
Le diable, portant un amour en ruine, les yeux brûlants de regrets inavoués,
A déchaîné sa colère, ses douleurs intimes, dévorant les étoiles en un soupir.
Refrain :
Par amour, il a brûlé les cieux, incendiant les aurores de sa peine,
Fissuré la terre, noyé les feux, laissant derrière lui le chaos de ses veines.
Dans son sillage, que des cendres froides, un silence écrasant les cris de joie,
Un monde perdu, pour une passion maudite, un cœur brisé régnant comme roi.
Couplet 2 :
Sous ses pas, les fleurs se flétrissent, le rouge du sang peint les pétales,
Les rivières s'assèchent, les cœurs se brisent, les amants perdus dans des râles.
Il pleure des larmes de feu, inconsolable, écho d’un amour autrefois puissant,
Sur les débris d'un amour, autrefois formidable, son empire d'agonie désormais grandissant.
Refrain :
Par amour, il a brûlé les cieux, incendiant les aurores de sa peine,
Fissuré la terre, noyé les feux, laissant derrière lui le chaos de ses veines.
Dans son sillage, que des cendres froides, un silence écrasant les cris de joie,
Un monde perdu, pour une passion maudite, un cœur brisé régnant comme roi.
Refrain :
Fissuré la terre, noyé les feux, laissant derrière lui le chaos de ses veines.
Dans son sillage, que des cendres froides, un silence écrasant les cris de joie,
Un monde perdu, pour une passion maudite, un cœur brisé régnant comme roi.
Comme Roi....
Pont :
Et dans le silence de l’apocalypse, où même les ombres ont déserté,
Il murmure son nom, l'écho complice, à travers le vent, l'amour exhorté.
Le monde se tait, le destin est scellé, sous la voûte céleste désormais noire,
Dans les bras de l'enfer, tout est effacé, sauf la douleur de leur séparatoire.
Pont :
Et dans le silence de l’apocalypse, où même les ombres ont déserté,
Il murmure son nom, l'écho complice, à travers le vent, l'amour exhorté.
Le monde se tait, le destin est scellé, sous la voûte céleste désormais noire,
Dans les bras de l'enfer, tout est effacé, sauf la douleur de leur séparatoire.
Refrain :
Par amour, il a brûlé les cieux, transformant l’azur en un noir de jais,
Fissuré la terre, noyé les feux, laissant les cendres du passé.
Dans son sillage, que des cendres froides, le froid mordant les restes de la vie,
Un monde perdu, pour une passion maudite, sous la tyrannie d'une nuit infinie.
Outro :
Quand l'amour d'un diable dévore son âme, laissant juste l’écho d’un cri déchirant,
Il ne reste que la nuit, sans aucune flamme, une solitude enveloppant l'obsédant.
Dans un dernier soupir, il regarde en arrière, son amour destructeur, sa dernière prière,
Un adieu murmuré à l’oreille de l'univers, dans l'espoir éphémère de défaire son enfer.
(Outro)
Quand l'amour d'un diable dévore son âme,
Il ne reste que la nuit, sans aucune flamme.
Dans un dernier soupir, il regarde en arrière,
Son amour destructeur, sa dernière prière.
Quand l'amour d'un diable dévore son âme,
Il ne reste que la nuit, sans aucune flamme.
Dans un dernier soupir, il regarde en arrière,
Son amour destructeur, sa dernière prière.