Lyrics
[Intro]
[instrumental/piano]
[Verse 1]
Une connexion qui promet tant,
Réduit le monde à quelques clics.
Mais derrière chaque écran qui s'allume,
Se cache un cœur qui bat, seul et taciturne.
[Pre-Chorus]
Dans la foule virtuelle, je cherche ton visage,
Au milieu des likes, où est ton vrai regard?
Ces amis par centaines, mais aucun à mon côté,
Quand l'écran s'éteint, le silence reste glacé.
[Chorus]
Oh, l'épidémie de solitude, la fumée sans feu,
Se sentir seul, comme fumer quinze cigarettes au lieu.
Cette connectivité, un voile d'illusion,
Nous lie sans nous toucher, rétrécissement sans union.
[Verse 2]
Politiques et solutions, des ministres de la solitude,
Des efforts pour briser ce cycle d'isolement rude.
Certains pays, cherchant des réponses,
À cette solitude qui comme une ombre, nous gronde.
[Pre-Chorus]
Est-ce que vraiment les écrans nous rapprochent?
Ou creusent-ils entre nous des abîmes farouches?
Des relations, clé de notre bien-être,
Perdues dans le virtuel, on oublie de les quêter.
[Chorus]
Oh, l'épidémie de solitude, la fumée sans feu,
Se sentir seul, comme fumer quinze cigarettes au lie
Ces amis par centaines, mais aucun à mon côté,
Quand l'écran s'éteint, le silence reste glacé.
[Chorus]
Oh, l'épidémie de solitude, la fumée sans feu,
Se sentir seul, comme fumer quinze cigarettes au lieu.
Cette connectivité, un voile d'illusion,
Nous lie sans nous toucher, rétrécissement sans union.
[Verse 2]
Politiques et solutions, des ministres de la solitude,
Des efforts pour briser ce cycle d'isolement rude.
Certains pays, cherchant des réponses,
À cette solitude qui comme une ombre, nous gronde.
[Pre-Chorus]
Est-ce que vraiment les écrans nous rapprochent?
Ou creusent-ils entre nous des abîmes farouches?
Des relations, clé de notre bien-être,
Perdues dans le virtuel, on oublie de les quêter.
[Chorus]
Oh, l'épidémie de solitude, la fumée sans feu,
Se sentir seul, comme fumer quinze cigarettes au lie
À cette solitude qui comme une ombre, nous gronde.
[Pre-Chorus]
Est-ce que vraiment les écrans nous rapprochent?
Ou creusent-ils entre nous des abîmes farouches?
Des relations, clé de notre bien-être,
Perdues dans le virtuel, on oublie de les quêter.
[Chorus]
Oh, l'épidémie de solitude, la fumée sans feu,
Se sentir seul, comme fumer quinze cigarettes au lieu.
Cette connectivité, un voile d'illusion,
Nous lie sans nous toucher, rétrécissement sans union.
[Bridge]
Je t'écris des messages que tu ne liras jamais,
Dans le bruit du monde, ma voix s'efface, tu ne l'entends pas.
Combien de temps, encore et encore, devrons-nous souffrir?
Avant que nous comprenions, avant que nous puissions guérir?
[Chorus]
Oh, l'épidémie de solitude, la fumée sans feu,
Se sentir seul, comme fumer quinze cigarettes au lieu.
Cette connectivité, un voile d'illusion,
Nous lie sans nous toucher, rétrécissement sans union.
[Outro]
Alors, je rallume mon écran, cherchant une vraie main,
Espérant qu'un jour, quelqu'un tiendra la mienne,
Dans ce monde rétréci, un paradoxe si étrange,
Proximité virtuelle, mais à l'amour, on échange.
Avant que nous comprenions, avant que nous puissions guérir?
[Chorus]
Oh, l'épidémie de solitude, la fumée sans feu,
Se sentir seul, comme fumer quinze cigarettes au lieu.
Cette connectivité, un voile d'illusion,
Nous lie sans nous toucher,
Oh, l'épidémie de solitude, la fumée sans feu,
Se sentir seul, comme fumer quinze cigarettes au lieu.
Cette connectivité, un voile d'illusion,
Nous lie sans nous toucher, rétrécissement sans union.
[Outro]
Alors, je rallume mon écran, cherchant une vraie main,
Espérant qu'un jour, quelqu'un tiendra la mienne,
Dans ce monde rétréci, un paradoxe si étrange,
Proximité virtuelle, mais à l'amour, on échange.
Proximité virtuelle, mais à l'amour, on échange.
[piano]
[outro]
[end]