Lyrics
Baiser le bec de la muse, belle et fière, portant des palmes en main.
Chanter la femme, chanter en son honneur, baiser cette main qu'elle daigne vous tendre.
Place au bal et au triomphe.
L'échafaud est bon.
Il ne faut pas trop de lumière.
Plonge sans vergogne dans ton costume de nuit.
C'est au fil de leurs désirs qu'ils se multiplièrent par mille.
Debout devant un volcan, le chaud du magma, rougeâtre et gonflant, fruit rouge abreuve la régalade.
Une silhouette qui trace la crevasse malaxe l'oxygène et le sang.
La bouche parfaite sous un rouge puissant.
Une femme infidèle à ses racines, décrochée de toutes réalités,
aux airs de déesse atmosphérique, paiera de son sang véritable.
Des couloirs pareils aux veines, dédale sombre du taureau, elle ne recevra pas de monnaie percutante
.
Penche donc ta tête ravissante, amante au cœur pur.
Devant une telle grâce, on se retourne et on admire.
Aucun stoïque, insensible à cet enthousiasme, n'ajoutera de sarcasme.
Pardonner le caprice ou le soupçon.
Elle a dans ses yeux l'amour et son empire fléchit sous des regards charmeurs.
Quand elle vous regarde, on sent vibrer son cœur.
La voir ainsi offerte, l'orgueil fuit devant elle, la colère expire.
L'oiseau bleu qui s'envole dans une sainte humilité.
Tant de prodiges est fait pour émerveiller ce bel ange aux ailes d'or.
Baiser le bec de la muse, belle et fière, portant des palmes en main.
Chanter la femme, chanter en son honneur, baiser cette main qu'elle daigne vous tendre.
Place au bal et au triomphe.
L'échafaud est bon.
Il ne faut pas trop de lumière.
Plonge sans vergogne dans ton costume de nuit.
C'est au fil de leurs désirs qu'ils se multiplièrent par mille.
Debout devant un volcan, le chaud du magma, rougeâtre et gonflant, fruit rouge abreuve la régalade.
Une silhouette qui trace la crevasse malaxe l'oxygène et le sang.
La bouche parfaite sous un rouge puissant.
Une femme infidèle à ses racines, décrochée de toutes réalités,
aux airs de déesse atmosphérique, paiera de son sang véritable.
Des couloirs pareils aux veines, dédale sombre du taureau, elle ne recevra pas de monnaie percutante
.
Penche donc ta tête ravissante, amante au cœur pur.
Devant une telle grâce, on se retourne et on admire.
Aucun stoïque, insensible à cet enthousiasme, n'ajoutera de sarcasme.
Pardonner le caprice ou le soupçon.
Elle a dans ses yeux l'amour et son empire fléchit sous des regards charmeurs.
Quand elle vous regarde, on sent vibrer son cœur.
La voir ainsi offerte, l'orgueil fuit devant elle, la colère expire.
L'oiseau bleu qui s'envole dans une sainte humilité.
Tant de prodiges est fait pour émerveiller ce bel ange aux ailes d'or.
Baiser le bec de la muse, belle et fière, portant des palmes en main.
Chanter la femme, chanter en son honneur, baiser cette main qu'elle daigne vous tendre.
Place au bal et au triomphe.
L'échafaud est bon.
Il ne faut pas trop de lumière.
Plonge sans vergogne dans ton costume de nuit.
C'est au fil de leurs désirs qu'ils se multiplièrent par mille.
Debout devant un volcan, le chaud du magma, rougeâtre et gonflant, fruit rouge abreuve la régalade.
Une silhouette qui trace la crevasse malaxe l'oxygène et le sang.
La bouche parfaite sous un rouge puissant.
Une femme infidèle à ses racines, décrochée de toutes réalités,
aux airs de déesse atmosphérique, paiera de son sang véritable.
Des couloirs pareils aux veines, dédale sombre du taureau, elle ne recevra pas de monnaie percutante
.
Penche donc ta tête ravissante, amante au cœur pur.
Devant une telle grâce, on se retourne et on admire.
Aucun stoïque, insensible à cet enthousiasme, n'ajoutera de sarcasme.
Pardonner le caprice ou le soupçon.
Elle a dans ses yeux l'amour et son empire fléchit sous des regards charmeurs.
Quand elle vous regarde, on sent vibrer son cœur.
La voir ainsi offerte, l'orgueil fuit devant elle, la colère expire.
L'oiseau bleu qui s'envole dans une sainte humilité.
Tant de prodiges est fait pour émerveiller ce bel ange aux ailes d'or.
Penche donc ta tête ravissante, amante au cœur pur.
Devant une telle grâce, on se retourne et on admire.
Aucun stoïque, insensible à cet enthousiasme, n'ajoutera de sarcasme.
Pardonner le caprice ou le soupçon.
Elle a dans ses yeux l'amour et son empire fléchit sous des regards charmeurs.
Quand elle vous regarde, on sent vibrer son cœur.
La voir ainsi offerte, l'orgueil fuit devant elle, la colère expire.
L'oiseau bleu qui s'envole dans une sainte humilité.
Tant de prodiges est fait pour émerveiller ce bel ange aux ailes d'or.
Vous irez porter sa couronne d'or effeuillée au jardin de son père où vit toute fleur.
Elle y répandra longtemps son âme, agenouillée.
Elle désirera comme on aime en hiver, vision plurielle et multiplicatrice.
Elle s'exposera, enveloppe ovale, revêtue d'un caftan de veille,
que bien toute chose anime dans l'urne pieuse des défunts calices.
Laisse au vague appétit des yeux, deviner des organes précieux,
sous la pure distinction d'une silhouette qu'on rêve à une bique.
Son visage allègre et son ventre arrondi seront une oraison vivante.
Un corps en fleurs à la fraiche corolle.
Baiser le bec de la muse, belle et fière, portant des palmes en main.
Chanter la femme, chanter en son honneur, baiser cette main qu'elle daigne vous tendre.
Place au bal et au triomphe.
L'échafaud est bon.
Il ne faut pas trop de lumière.
Plonge sans vergogne dans ton costume de nuit.
C'est au fil de leurs désirs qu'ils se multiplièrent par mille.
Debout devant un volcan, le chaud du magma, rougeâtre et gonflant, fruit rouge abreuve la régalade.
Une silhouette qui trace la crevasse malaxe l'oxygène et le sang.
La bouche parfaite sous un rouge puissant.
Une femme infidèle à ses racines, décrochée de toutes réalités,
aux airs de déesse atmosphérique, paiera de son sang véritable.
Vous irez porter sa couronne d'or effeuillée au jardin de son père où vit toute fleur.
Elle y répandra longtemps son âme, agenouillée.
Elle désirera comme on aime en hiver, vision plurielle et multiplicatrice.
Elle s'exposera, enveloppe ovale, revêtue d'un caftan de veille,
que bien toute chose anime dans l'urne pieuse des défunts calices.
Laisse au vague appétit des yeux, deviner des organes précieux,
sous la pure distinction d'une silhouette qu'on rêve à une bique.
Son visage allègre et son ventre arrondi seront une oraison vivante
Ils oscillent, au hasard, depuis des nuits sans nombre,
à chaque empreinte de pas qui oblige à s'arrêter
et, très loin de rectifier cet épais réseau d'ombre, ils peuvent difficilement l'évincer.
Ils se perdent, ils gigotent au sein de l'inconnu,
tout prêts à se précipiter, dans une anxiété immense, sur le premier feu venu.
Dans leur âme et dans leur sang, ils sont consolidés comme enracinés.
Quelquefois leur affliction côtoie la confusion mentale.
Rien ne les guérira de l'entêtement qui les anime, à jamais, ces amblyopes-nés.
De la luminosité, donc !
Bien que cet effet n'exprime qu'un souhait navrant qui va s'exaspérant à force d'être retenu.
Quand le vieux soleil, ce sachem, s'éteindra, ils frissonneront d'horreur dans son obscurité,
dans un adieu suprême, l'entendant sortir des lèvres de la mansuétude,
qui les aura manifestement désolés.