Lyrics
Fabrice est allongé, il regarde le plafond,
Les jours s’étirent, les nuits sont sans fond.
Il rêve de liberté, de ciel et de maison,
Mais les murs de l’hôpital, c’est sa prison.
Oh, Fabrice, tiens bon, encore un peu,
La route est longue, mais il y a un mieux.
Les infirmières, les aides-soignants, ils font de leur mieux,
Mais parfois c'est dur, ça je le sais, mon vieux.
Les blouses blanches passent et repassent,
Leurs sourires forcés, Fabrice en a assez.
Les piqûres, les traitements, c’est devenu sa routine,
Il voudrait crier, mais ça reste dans ses lignes.
Oh, Fabrice, tiens bon, encore un peu,
La route est longue, mais il y a un mieux.
Les infirmières, les aides-soignants, ils font de leur mieux,
Mais parfois c'est dur, ça je le sais, mon vieux.
Un jour tu sortiras, le soleil brillera,
Ce cauchemar finira, et tu marcheras.
Le vent dans les cheveux, le sourire retrouvé,
Tu regarderas en arrière, tout ça sera passé.
Oh, Fabrice, tiens bon, encore un peu,
La route est longue, mais il y a un mieux.
Les infirmières, les aides-soignants, ils font de leur mieux,
Mais parfois c'est dur, ça je le sais, mon vieux.
Fabrice, mon ami, garde l’espoir en toi,
Ce n’est qu’un passage, un mauvais moment, crois-moi.
Le jour viendra, tu seras libre enfin,
Et ce sera le début d'un nouveau chemin.
Oh, Fabrice, tiens bon, encore un peu,
La route est longue, mais il y a un mieux.
Les infirmières, les aides-soignants, ils font de leur mieux,
Mais parfois c'est dur, ça je le sais, mon vieux.
Oh, Fabrice, tiens bon, encore un peu,
La route est longue, mais il y a un mieux.
Les infirmières, les aides-soignants, ils font de leur mieux,
Mais parfois c'est dur, ça je le sais, mon vieux.