Lyrics
Vers 1 :
Les néons clignotent, la ville s’éveille,
Dans l’obscurité, les âmes s’entremêlent.
Les rues pavées de rêves, de peurs et de drames,
Chaque coin, chaque ruelle, raconte ses propres lames.
Les ombres dansent sous les réverbères,
Des histoires de survie, de lutte contre la misère.
Les travailleurs de la nuit, les âmes perdues,
Cherchent un bout de lumière, dans ce chaos, sans issue.
Refrain :
La ville qui ne dort jamais, dévoile ses secrets,
Sous les lumières artificielles, les cœurs sont blessés.
Mais dans chaque souffle, dans chaque regard,
L’espoir persiste, malgré le brouillard.
Vers 2 :
Les bars se remplissent, de visages fatigués,
Des récits de vie, noyés dans l’ébriété.
Les sans-abris errent, cherchant un abri,
Chaque nuit un défi, chaque souffle un sursis.
Les sirènes hurlent, les murmures s’intensifient,
La vie continue, malgré les cris.
Les riches dorment tranquilles, dans leurs tours d’ivoire,
Tandis que les rues grondent, de rage et de désespoir.
Refrain :
La ville qui ne dort jamais, dévoile ses secrets,
Sous les lumières artificielles, les cœurs sont blessés.
Mais dans chaque souffle, dans chaque regard,
L’espoir persiste, malgré le brouillard.
Pont :
"واش هاد الشي حياة؟", ils se demandent souvent,
Les luttes sans fin, les rêves en suspens.
Mais chaque nuit porte en elle, une lueur d’espoir,
Un battement de cœur, un rêve qui veut y croire.
Vers 3 :
Les artistes de rue, peignent des futurs meilleurs,
Leurs talents éclipsent, les ombres et la peur.
Les travailleurs de l’ombre, les héros oubliés,
Font tourner la ville, malgré les plaies.
Les jeunes rêvent encore, de jours plus lumineux,
Leurs espoirs brillent, dans leurs yeux ambitieux.
La ville qui ne dort jamais, les abrite tous,
Dans un ballet nocturne, d'espoirs et de coups.
Refrain :
La ville qui ne dort jamais, dévoile ses secrets,
Sous les lumières artificielles, les cœurs sont blessés.
Mais dans chaque souffle, dans chaque regard,
L’espoir persiste, malgré le brouillard.
Coda :
Quand l’aube se lève, et les étoiles s’éteignent,
La ville reprend son souffle, les âmes se plaignent.
Mais au fond des ténèbres, une lumière persiste,
La vie continue, dans ce combat, elle insiste.
La ville qui ne dort jamais, continue de battre,
Ses habitants survivent, malgré les nuits ingrates.